Au dessus de l’aile


La semaine dernière, de passage à Bordeaux, chez des amis, et j’en ai profité pour m’essayer au pilotage d’avion. Pas un Boeing, évidemment : un petit Robin HR-200, un appareil facile à prendre en main. Et je dois dire que j’ai bien savouré l’aventure que je pense recommencer, un de ces quatre. ‘étais persuadé que piloter un avion soit ardu, mais en fin de compte, ce n’est pas le cas. Preuve en est, j’ai appris ce jour-là qu’on peut piloter un avion bien avant son permis de conduire ! Pourquoi ? D’abord, parce que c’est clairement plus simple que de conduire une voiture. Le tableau de commandes, il y a certes pas mal d’indicateurs et de voyants lumineux, mais en fait, la plupart n’ont aucune utilité (à mon niveau, en tout cas !). Et, parce que en vol, il n’y a ni limitations de vitesse ni priorités à droite ! Voilà pourquoi on peut passer aux commandes sans avoir la majorité. Suite à cette expérience, une question me hante : pourquoi je ne l’ai pas fait avant ça, alors qu’il y a un aérodrome à dix minutes de chez moi. Pourquoi a-t-il fallu que je le fasse alors que j’étais loin de chez moi ? D’autant que ça se passe pratiquement toujours ainsi. Je ne sais pas si c’est la même chose pour vous, mais c’est toujours quand on est en vacances qu’on réalise de nouvelles expériences. C’est assez stupide, quand on y pense. J’ignore ce qui nous pousse à agir ainsi. Peut-être que lorsqu’on est en voyage, on favorise les activités plutôt que les biens de consommation. J’essaierai de faire un effort en essayant des expériences inédites autour de chez moi. Je vous dirai si ça a porté ses fruits ou si l’on ne peut être aventurier que loin de chez soi ! Je vous mets en lien le site par lequel je suis passé pour mon initiation de pilotage d’avion.En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste renommé de ce baptême de l’air en avion.


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